• La compétition est un moment d'excitation fait de rencontres et de partages. Elle appelle au dépassement de soit même. Elles permettent de vérifier de façon pragmatique sont niveau et  l'efficacités de différentes technique notamment au niveau de la gestion du stress. 

    Il est très difficile des ce détacher de la pression occasionner par le chalenge ou  le regard d'autrui. C'est la raison pour la qu'elle les coachs fonts appelle a des disciplines annexe comme la sophrologie, le yoga, le tai chi etc. Qui agirons au niveau de la respiration ou de la visualisation pour améliorer  la gestion émotionnel des sportifs de haut niveau. 

    Elle reste néanmoins une source de motivation essentiellement extrinsèque.    

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  • Pierrot et Franqui

    Franqui et pierrot
    sont les deux pilotes biplaceures qui assurent les formations des novices chez Air Réunion Parapente. Devant le succès de leur activité leur équipe c'est maintenant étoffé. 

    La première question que j ai posé a Franqui lorsque je suis arrivé sur la pente école c'est es qu'il était sur que l'on ne risquai pas de vraiment décoller ? 

    Il m'a répondu que non et qu'ils avaient meme essayé avec des voiles de compétition.

    Le deuxième jour au milieu d'un brouillard fortement venté j'ai réalisé ce qu'il a appelé plus tard mon premier vol, car j'ai vraiment décollé de la pente école.

    Je ne sais pas pourquoi je n'avais plus de consignes radio peut être qu'elle ne marchait plus ou que le vent les rendait inaudible,  mais quant j'ai vue  arriver l'extrémité du champ j'ai du prendre la décision seule d'arrêter ce superbe vol plané, j'ai décroché d'un peut trop haut mais sans conséquences.

    J'était séparé de mon professeur par une petite colline et l'on ne ce voyez plus, qu'elle ne fut pas ma surprise de le voir arriver avec la voile du deuxième élève qu'il avait enfilé en un tour de main pour s'assurer que tout allé bien.  

    Je le vois encore interpeler Pierrot pendant le débriefing pour attirer son attention vers le document vidéo témoins de la scène exceptionnel. C'était le 19 /09 /2012 

    Acrochage Décrochage.
    Huit jours plus tard c'est mon deuxieme vol, Pierrot pour être sur que je garde le bon cap me demande de suivre une voile devant moi que je ne tarde pas a rattraper.

    Le temps de comprendre que je vais devoir la doubler pour ne pas lui rentrer dedans et de choisir de quel coté voici que cette voile bien gênante effectue un virage par la droite où j'avais décidé de doubler.
    Nous voila donc face a face avec trop peut de temps,  d'espace et d'expérience pour nous éviter.
    Je suis juste un peut plus bas lorsque l'extrémité gauche de ma voile ce prend dans les suspente de l'autre voile. Abordage le temp  de faire un tour complet par inersie et décrochage des deux voile heureusement sans gravité. Non je n'est pas pensé une seconde au parachute de secoure. "Celle la on me l'avait jamais faite" avouera pierrot interloqué.

     Quatrième vole.

    Curieusement la consigne pour rentrer dans la sellette ne vient pas...? Plus de radio !
    Mais mon vrai problème c'est que je n'arrive pas a rentrer dans la sellette et sa dure la moitié du vole. C'est vraiment très inconfortable voir douloureux.

    Mais maintenant je doit prendre des décisions tout seule pour l'atterrissage. Je n'est que peu de hauteur, pas de voile dans le ciel comme modèle,  je file droit vers l'attero en espérant que Franqui n'a pas oublié ses raquettes pour me guider a vue. Ce sera l'attero le plus précis que je ferai, j'y est pensé pendant toute la deuxième parti du vole.
    Je garde également un souvenir exceptionnellement agréable du silence radio et de cette sensation de solitude même si je me savais observé. 

    Voila, cela s'appelle des "incidents de vole" sans gravité et qui ont l'avantage de nous mètre tout de suite dans le vif du sujet.

    Remerciement a Pierrot et Franqui qui ont choisi en plus du parapente, l'enseignement, un des métier les plus ardu.

     

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  • Lorsque j'ai commencé mon apprentissage je me suis demandé comment faisaient les autres écoles pour apprendre roulis, tangages et temporisations aux élevés sans un lagon au dessous des manœuvres pour les exercices.
    Bien évidement ils sens passent puisque cela n'est aucunement nécessaire,  mais force est de constater que cela est psychologiquement bien plus rassurent.

    Plusieurs fois lors de discutions il m'a était mentionné que j'avais de la chance d'apprendre a voler sur ce site exceptionnel qu'est Saint-Leu. Un lieu idéale pour débuter, volable 300 jours par ans. Je n'est toujours pas volé ailleurs et n'est donc pas de point de comparaison.

    Il faut du temp pour découvrir l'aérologie particulière a un relief, une region, les caractéristiques du vent suivant son orient changent radicalement, que ce soit au déco en vol ou a l'attero.

    Qui ne s'est pas fait pieger par le vent du nord a l'attero de Saint-Leu ? 
    Sa force soudaine lorsque l'on se rapproche du sol raccourcie brutalement la trajectoire anticipé, obligeant a réviser le plant de vol dans les dernières seconde avec la mer d'un coté et Kelonia et les arbres de l'autre, ou pire encore, un vent de terre qui cette foi n'autorise même pas un atterrissage trop cour, sous peine de lagon, corail et voile foutue. 
    Tout le monde ici a des exemple en tète. 

    Alor bien venue a St -Leu aux pratiquants, au touristes, aux champions, planer et contempler les lagons et les ravines de l'Ile sa s'oublie pas...

     

     

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  • Temporisation

    Voila une belle tempo. bien lisible.

    La "temporisation" est un coup de frein lié a la vitesse à laquelle la voile va arriver au dessue de notre tête et  pendant la qu'elle on va ce retourner pour courir et décoller.  

    Lors de mon apprentissage, j'ai était animé par la précipitation pendant cette phase assé technique, parce que je n'arrivai pas a concevoir que la voile puisse rester suspendu au dessus de m'a tête sans s'écrouler avant de courir et cela  même dans les décollages dos a la voile.

    Or le fait est qu'une tempo. bien réalisé sa ce joue a la fraction de seconde, qu'il faut donc déjà avoir acquis des sensations lisibles de la voile, un sens du rythme et de l'anticipation afin de décider l'intensité du freinage et surtout l'instants où l'on va freiner et tout cela change en fonction du vent.

    C'est bien évidement un grand plaisir et une source de satisfaction lorsque cette étape commence a être maitrisé.
    C'est la libération d'une angoisse et l'acquisition d'une réel autonomie.

     

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  • Joker

    Ce jour la tous le monde a du attendre au décollage pendant toute la matinée et plus, sans savoir si l'on allé pouvoir décoller, le vent était vraiment trop fort.

    Mais compétition oblige et même si l'on a eu la chance d'avoir le soleil avec nous, le fait est que la patiente de certain était mise a rude épreuve... Surtout pour les plus jeunes.

    Dance with the death

    C'est alors que surgit de nul part un acrobate de service.  

    Dance with the death

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