Baltazhar Samilor s'affiche et ce porte !

Reconnaissance et gratification sociale sont a l'ordre du jour pour cette Pré World Cup 2018

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Effilées comme des lames de couteaux les voiles de compétition sont souvent récalcitrantes au décollage. Cette scène n'est pas rare car bien évidement ces pratiquants aiment voler dans des conditions ou la brise est asse forte.

Tel un cheval de course elles ce mettent a piaffer d'impatience comme des petit dragons pressaient de prendre les aires dans un bruit de froissement rapide et de claquements qui ne manque pas d'attirer l'attention des spectateurs.

Une image onirique et fantasmé.

Impossible dans la réalité tous ces cocons aussi rapproché les uns des autres.

Pourtant le jour de la WORLD CUP la sensation qui ce dégage ressemble a cela .

Un essaim est un rassemblement en nombre important d'insectes de la même famille.

La taille de l'aile lorsque l'on débute est impressionnante et difficile a appréhender, un peut comme lorsque l'on change de voiture.

En l'occurrence une aile de parapente est bien plus grande qu'une voiture. J'entend souvent les bi placeurs mentionner aux touristes que leur aile fait la taille d'un studio Parisien soit 24 mètres carré environ. 

Au sol cela peut encore aller, mais lors du gonflage c'est toujours un spectacle, d'autant plus que malgré l'expérience cela reste un phase technique très aléatoire et les loupés sont  fréquents même chez les professionnels. C'est sans aucun doute le moment le plus imprévisible de cette activée.

Il faut quant même souligner l'intelligence de la conception des ingénieures qui arrivent a faire une structure portante solide, dépliable/repliable en 10 minutes et transportable a dos d'homme avec uniquement des éléments mouts...

Jolie deco rouge sur font noir pour cette sellette de compétition. Pour l'instant je me vois pas naviguer a bort d'un tel engin, sans douter pour autant des avantages que cela doit procurer.