L'atterrissage dans la canne a sucre ce n'est qu'une question de temps apprend t on a St-Leu quant on débute.

Et quant ont y a était une foi  on doit savoir que ce ne sera pas la dernière.

Voici  donc ma première canne, en long en large au ralentie et a vitesse réel.

Mes conseilles,

:" attendez un moi sans voler et un beau temps calme pour le vole de reprise, en milieux de mâtiné sans trop de thermique, prudence... arrivez de préférence entre deux rotations de navettes pour avoir une piste de décollage bien dégagé.

Après vérification de l'aérologie, dépliez votre voile et préparez vous au gonflage.

Comme vous savez que c'est un vol de reprise et que vous avez  peut être une légère appréhension, il y a forcement du monde autour de vous que vous n'avez pas vue depuis longtemps et qui aura hâte de venir vous saluer, n'hésitez pas a entamer la conversation cela vous décontractera. Une fois ce bavardage terminé avec un peu de chance le temps aura changé et vous ne vous en serais pas aperçue, profitez en pour décoller, vous pouvez ratez le premier gonflage c'est pas grave en décollant d'un peut plus bas vous augmentez vos chances de réussite.

TROP TOT DANS LA SELETTE ! on vous la toujours dit ... maintenant vous savez pourquoi !

Ceci dit cela change pas grand chose et la position assise a aussi ses avantages quant on entend taper les cannes tac, tac, tac, dans les airbags.

ATTERO DS LA CANNE, le film, avec Armant Lepage en gest star comme si vous y étiez.

Un pilote en approche pour atterrire  au décollage.

Comme j'habite au déco, l'objectif d'atterire au décollage fut un des premiers que je me suis fixé et je l'ai atteint dans les trois premier moi. Mais même si l'on dispose d'une jolie superficie en  largeur en bas de la piste  cela n'est pas toujours évident.

 La brise est souvent plus forte et il ce peut que l'on est du mal a perdre de l'altitude.

Juste derrière ce trouve des lignes électrique a haute tension qui empêchent de faire une approche avec le vent de face et qui gâchent un peut l'ambiance.

Sur la droite une ravine et des arbres ne pardonnerons pas si l'on est trop court.

Et il est toujours possible bien qu'ayant la priorité qu'un pilote sur le point de décoller ne nous est pas vue. 

Une des difficulté rencontré par les pilotes bi placeurs lors du  décollage est lié a un phénomène récurent du comportement humain, surveiller ses arrières.

Il est nécessaire pour tirer la voile et ensuite courir sans ce casser la figure de regarder devant soit.

Bien que les consignes soient clairement énoncés par les pilotes sur la direction où doit regarder le passagé(ére) pendant la phase de décollage, il est très fréquent qu'un reflexe de dernière minute amène celui ci a ce retourner pour regarder la voile monter.

Oubliant non seulement d'aider le pilote a tirer la voile mais occasionnant aussi une gène par sa position de coté, un retard dans la course qui va suivre et au finale un risque de trébucher ou même de tomber dans la pente.

Yvon.

Un camarade de pratique au décollage de la World Cup.

Ce pratiquant assidu et avancé prodigue conseilles pertinents et coup de main appropriés a tout débutant un peut trop stressé.

Une présence attentive somme toute.  

D'une nature solitaire, voire individualiste, j'ai remarqué qu'un de mes plus grand plaisir en vol était paradoxalement de me retrouver au beau milieu d'une grappe de voiles, de préférence des bi placeurs. 

Leur dexterité a anticiper les trajectoires m'ébloui,  la grande majorité sont d'excellent pilotes  et j'ai l'impression de jouer dans la cour des grands.

L'attention est a son comble, le plaisir partagé de ce retrouver dans un thermique crée une émulation palpable. 

Cette image fut prise lors de la World Cup 2014 et je suppose qu'il en de même en compétition si l'on fait abstraction du chalenge.