• Une des difficulté rencontré par les pilotes bi placeurs lors du  décollage est lié a un phénomène récurent du comportement humain, surveiller ses arrières.

    Il est nécessaire pour tirer la voile et ensuite courir sans ce casser la figure de regarder devant soit.

    Bien que les consignes soient clairement énoncés par les pilotes sur la direction où doit regarder le passagé(ére) pendant la phase de décollage, il est très fréquent qu'un reflexe de dernière minute amène celui ci a ce retourner pour regarder la voile monter.

    Oubliant non seulement d'aider le pilote a tirer la voile mais occasionnant aussi une gène par sa position de coté, un retard dans la course qui va suivre et au finale un risque de trébucher ou même de tomber dans la pente.

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  • La boucle

    J'adore les gris, le jeux des contrastes de lumières allant du noir au blanc adoucie les extrêmes dans une neutralité apaisante pour le regard et l'âme.

    "Haliba" oblige,

    faut bien s'occuper dans la tempête

    et temps qu'a broyer du gris

    autant le sublimer en pétales humains

    de fleur de vie.

    B.S.

    L'originale fait 1.35 m de hauteur.

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  • Une experience vertigineuse

    Par définition le vertige ne peut pas exister en parapente puisqu'il faut avoir les pieds sur terre pour le ressentir.

    Il en reste pas moins qu'une angoisse peut s'insinuer par l'intermédiaire des pensées dans le mentale de l'individu face au spectacle du vide et a la place qu'il occupe (suspendue au dessue).

    Il convient d'en prendre conscience avant que cela ne dégénère et par l'intention et la respiration de diriger ces pensées vers autre chose que la peur.

    "J'ai déjà reçu le pouvoir qui gouverne ma destinée,

    Je ne m'accroche à rien, pour n'avoir rien à défendre,

    Je n'ai pas de pensées, pour pouvoir VOIR,

    Je ne crains rien, pour pouvoir me souvenir de moi-même,

    L'Aigle me laissera passer,

    Serein et détaché, jusqu'à la Liberté"...

    Extrait du "Don de l'Aigle", Carlos Castaneda, Gallimard, 1982

     

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  • The Flyng Thing

    Ce visage graphiquement tres intéressent que n'aurait pas renier John Carpenter est visible le plus souvent a l'atterrissage. Je l'ai pourtant déjà vu décoller et est eu la chance de faire ce portrait un jour de la World Cup.

    J'évite la plus part du temp d'etre vue lorsque je prend des clichés pour garder le naturel des physionomies que l'on perd autrement est ne pas géner les personnes. Ce qui n'est pas le ca ici, j'était très près et devant la rareté de sa présence au décollage n'est pas put résister. 

    Une vrai gueule d'acteur de cinéma.

     

     

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  • Envergure

    La taille de l'aile lorsque l'on débute est impressionnante et difficile a appréhender, un peut comme lorsque l'on change de voiture.

    En l'occurrence une aile de parapente est bien plus grande qu'une voiture. J'entend souvent les bi placeurs mentionner aux touristes que leur aile fait la taille d'un studio Parisien soit 24 mètres carré environ. 

    Au sol cela peut encore aller, mais lors du gonflage c'est toujours un spectacle, d'autant plus que malgré l'expérience cela reste un phase technique très aléatoire et les loupés sont  fréquents même chez les professionnels. C'est sans aucun doute le moment le plus imprévisible de cette activée.

    Il faut quant même souligner l'intelligence de la conception des ingénieures qui arrivent a faire une structure portante solide, dépliable/repliable en 10 minutes et transportable a dos d'homme avec uniquement des éléments mouts...

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